Re: NBA 2k20 MyLeague - Washington Wizards

[Dumble J]

J'ai besoin d'avoir des emotes Thanos pour répondre correctement

[Chris Jericho]

Game 3
Premier match de la série joué à Atlanta, après un finish sensationnel du game 2, les Hawks doivent se remettre d’aplomb et protéger leur terrain. Cette rencontre aura vu les deux équipes être très adroites, à tel point que 8 joueurs vont scorer + de 16 points chacun. DeAndre Hunter en mettra 31 à lui seul. Mais rien ne pouvait arrêter Anthony Edwards qui scorera 44 points et délivrera 9 passes décisives. Malgré un Towns pas en réussite, les Wizards domineront complétement le dernier quart et gagne ce game 3, 140-130.

Game 4
Deuxième match joué à Atlanta, les Wizards menant la série 2-1, les Hawks sont dans l’obligation de gagner pour ne pas avoir à jouer leur saison sur un match à Washington. Les Wizards performeront grâce à leur banc et à leur maitrise du rebond offensif, deux domaines dans lesquels ils étaient déficients ces dernières années. Towns a sorti un véritable chantier à 36 points 8 rebonds à 7/14 à 3 pts. Le banc ne sera pas en reste avec 15 points 7 passes de Brunson, et 15 pts 7 reb 5 passes de Delgado. Victoire des Wizards 128-112 qui mènent 3-1.

Game 5
Les Wizards ont le pied sur la gorge des Hawks et peuvent mettre un terme à la série devant leur public. Le match est serré jusqu’au bout, Atlanta ne se laisse pas mourir sans se battre. Hunter et Reddish font tout ce qu’ils peuvent pour maintenir leur équipe en vie. Mais une performance collective aboutie et un banc ultra productif des Wizards leur permettront de gagner le match 124-10 et la série 4-1. Edwards aura dominé la série de bout en bout. Un an après le sweep infligé par Atlanta, Washington a fait tomber son ancien bourreau et continue sa campagne de playoffs.

Campagne de playoffs qui va amener les Wizards à n’affronter personne d’autre que les Cleveland Cavaliers au deuxième tour. Les Cavs amenés par Darius Garland, Kevin Porter Jr et Mo Bamba ont terminé la saison avec le deuxième meilleur bilan de l’est. L’équipe amenée par Mike Malone est la 18e meilleure défense mais surtout la toute meilleure attaque de la NBA. Encore une fois, Washington affronte le champion en titre au 2nd tour.

Demi finales de conférence face aux Cleveland Cavaliers


Game 1
Le premier match joué à Cleveland n’aura pas tenu toutes ses promesses. Aucun suspense n’a été offert aux spectateurs, les Cavs infligeant une mini raclée 130-106 à leurs adversaires. Washington n’a rien pu faire face aux 40 points de Garland et 40 points de Porter Jr. Hunter et Edwards auront marqué 23 points chacun, Towns a été en difficulté face à Bamba.

Game 2
Les Wizards seraient bien inspirés d’éviter de laisser deux joueurs marquer 80 points à eux deux, voilà les mots du coach Brad Stevens devant la presse. Le deuxième match de la série a été beaucoup plus serré et s’est joué jusqu’à la toute fin du dernier quart. Mais plus expérimentés et jouant devant leur public, les Cavs continuent de mettre en œuvre leur domination, derrière la performance hallucinante de Kevin Porter Jr qui va scorer 47 points. Victoire de Cleveland 124-122. Washington s’est mieux battu, Edwards finira la rencontre avec 34 points. Tre Hunter a été maladroit à 5/12 au tir et 5 pertes de balle.

Game 3
La série se déplace à Washington pour les deux matchs suivants. Les Wizards doivent protéger leur parquet s’ils ne veulent pas de nouveau se faire sweeper. Washington monte en puissance et défend mieux. Devant leur public, Edwards scorera 34 points et Towns 28 points 7 rebonds. De l’autre coté, le duo infernal des Cavs ne sera pas en reste : 35 points pour Porter, 33 points 6 rebonds 8 passes pour Garland. Mais ce ne sera pas assez, victoire de Washington 124-115. Au rayon des mauvaises nouvelles, Tre Hunter s’est fêlé le doigt et est incertain pour le match suivant.

Game 4
Le game 3 est plein d’enseignements pour Washington, reproduire une telle performance pourrait permettre de résister voire même de renverser la vapeur face à Cleveland. Jusqu’au bout Washington gardera le doute sur l’état de Hunter. Ce jeu d’intox prendra fin à 10 minutes du début de la rencontre, Hunter est forfait et Jalen Brunson prend sa place dans le 5 majeur. Encore une fois le match sera serré et se jouera dans le clutch. Darius Garland mettra 37 points, Towns 32 points et 12 rebonds. Mais l’homme du match sans conteste sera Anthony Edwards qui scorera 41 points à 10/10 à 3 pts ! Performance absolument historique de l’arrière qui inscrit son nom dans le livre des records de sa franchise. Victoire de Washington 130-125 qui égalise dans la série.

Game 5
Retour à Cleveland pour la suite de la série et un game 5 crucial dont l’issue donne très souvent le nom du gagnant de la série. Hunter fait son retour et est réintroduit dans le 5 majeur. Washington dominera la rencontre pendant la majeure partie du match, gardant son adversaire à une petite dizaine de points d’écart. Les 24 points de Saddiq Bey et les 24 points de Towns vont suffir à faire gagner leur équipe 127-103. Revenant de blessure, Hunter mettra 18 points et délivrera 10 passes décisives.

Game 6
Washington peut terminer la série devant son public, le rendez-vous est immense et la capitale est en effervescence. Beaucoup de pression et de tension vont accompagner ce match, ce qui se vérifiera sur le parquet. La rencontre est moins portée sur l’attaque que les autres, les équipes ne se laissent rien et se rendent coup pour coup. Les Wizards vont être maladroits à 3 point et c’est ce qui fera basculer le match pour les Cavs. Les 32 points d’Edwards ne seront pas suffisant, surtout lorsque Towns sortira une mauvaise performance à seulement 11 points à 5/12 au shoot. Kevin Porter amènera les siens vers une victoire cruciale avec 28 points, 118-103 pour Cleveland.

Game 7
La série se jouera sur un game 7 à Cleveland. Les champions en titre sont poussés dans leurs derniers retranchements et ont du mal à se débarrasser de Washington, qui a laissé passer une balle de match à domicile. Ce match sera bien plus porté sur l’attaque que le précédent. Edwards arrivera à scorer 30 points, Towns 28 et Hunter 21. Mais aucune équipe dans la NBA ne saurait maitriser un match d’attaque face au rouleau compresseur offensif de Cleveland. 33 points de Kevin Porter, 30 de Garland, et plus généralement une adresse hallucinante de tous les Cavs vont leur permettre de repartir avec la victoire 150-139 devant son public. Washington n’a pas su ralentir la meilleure attaque de la ligue et est éliminé 4-3 au second tour des playoffs.


Cleveland va ensuite disposer des Chicago Bulls de Lamelo Ball en finales de conférence 4-2. Du coté de l’ouest, les finales de conférence donneront lieu à un affrontement entre deux équipes qui n’étaient sans doute pas programmé d’aller aussi loin en playoffs. Les San Antonio Spurs amenés par Dejounte Murray et Becky Hammond, la première femme coach en NBA, vont sweeper le Thunder d’Oklahoma de Shai Gilgeous-Alexander. Les finales NBA sont très déséquilibrés sur le papier, Cleveland est l’ultra favori et la question dans les médias est plutôt de prédire en combien de matchs les Cavs finiront la série. Cleveland ne donnera finalement rien à San Antonio et sweepera les texans pour conserver le titre. Darius Garland sera de nouveau élu MVP des finales.

[Pedro]

Nooooooon j'y ai tellement cru à 3-2. Quelle série folle. 150-132 sur le dernier match on dirait un asg.

Par contre le match de Edwards à 10/10 à 3. C'est fabuleux tout simplement. En vrai, vous battiez les Cabs, vous étiez champions. Chaque année vous vous rapprochez du titre. Je te fais confiance pour y accéder.

[Chris Jericho]

On est pas vernis vraiment, on aura jamais de parcours facile en PO, on tombe soit sur Atlanta soit sur Washington avant même les finales de conférence. On a poussé les champions jusqu'à un game 7 bordel, ils sont infernaux ces chiens

[Pedro]

On attend la suite

[Chris Jericho]

L'été 2026

Washington n’a pas de pick pour cette draft 2026, donc Washington n'enregistrera l'arrivée d'aucun rookie. La free agency sera bien plus agitée que la draft. Plusieurs joueurs arrivés en fin de contrat ne seront pas reconduits pendant l’été. Robert Covington et Royce O’Neale ont vu leur niveau de jeu décliner, trop pour le board des Wizards qui ne leur a pas offert de prolongation. Le dossier le plus épineux aura été celui de l’ailier shooteur Saddiq Bey. L’ailier était arrivé en cours de saison dernière via un trade et aura donné satisfaction sportivement sur ses quelques mois avec l’équipe. Arrivé en fin de contrat lui aussi, ses prétentions salariales sont trop élevées comparées aux capacités financières de Washington. De longues négociations se sont déroulées entre les deux camps mais elles sont restées infructueuses : Bey a décliné toutes les offres de Washington et a signé un contrat plus lucratif du côté des Toronto Raptors. Du coté des prolongations, Matisse Thybulle paraphe un nouveau contrat de 3 ans à un salaire de 6M$ annuels et Nerlens Noel resigne pour un au minimum.

Washington enregistrera plusieurs arrivées mais la plus significative est celle de Mfiondu Kabengele, pivot très complet super rebondeur, capable de tirer de loin, de finir fort près du cercle et de défendre correctement. Il rejoint l’équipe pour 1 an à 7M$ + une année en option.

La free agency de Giannis Antetokounpo

A désormais 32 ans, il ne fait pas de doute que Giannis est le meilleur joueur de la NBA. 4 MVP au compteur pour autant de titre de défenseur de l’année, personne d’autre n’a infligé une telle domination individuelle depuis le déclin et la retraite de LeBron James. Oui mais cette domination reste individuelle, car les Bucks n’ont jamais su capitaliser sur leur franchise player pour construire une équipe prétendante au titre. Dans une conférence Est devenue compétitive, Milwaukee oscille entre absence des playoffs et sortie au 1er tour. Giannis aura fait preuve d’une patience et d’une loyauté hors limite envers sa franchise, décidant même -en 2021- de prolonger avec elle sans grande garantie sportive. Si les Bucks avaient enregistré l’arrivée de Sterling Weems à la draft, un meneur très talentueux avec un grand avenir devant lui, cela ne suffisait pas pour rendre Milwaukee compétitif sur le court terme et le temps ne jouait pas en faveur des daims. Il ne fallait pas beaucoup plus qu’un nouvel échec au premier tour des playoffs et un contrat arrivé à expiration pour que le monde de la NBA ne s’agite sur la free agency du greek freak. Certains pensent qu’il a suffisamment -voire trop- attendu que son équipe s’améliore et qu’il peut désormais partir, d’autres croient que s’il avait voulu partir ce serait déjà fait.

Les médias prétendument insiders de la NBA ont été en ébullition, tous comme les réseaux sociaux, sur cette saga. On nous apprend que Thanasis, l’un des frères de Giannis, a passé une journée à discuter avec Steve Ballmer, le propriétaire des Los Angeles Clippers. On nous rappelle que Giannis avait acheté un appartement dans le centre-ville de Milwaukee durant l’année. Et on retweete à foison une capture d’écran des likes instagram de la compagne du greek freak qui est visiblement fan de la ville de New York. Bref, la course aux infos plus ou moins pertinentes était lancée… jusqu’à que la free agency ne s’ouvre. Quelques jours de réflexion auront suffi pour le multiple MVP qui aura tenu des réunions avec plusieurs équipes intéressées par ses services. Le 5e jour de la free agency connaitra le dénouement de cette saga dont le personnage principal est le plus gros free agent depuis LeBron James en 2010. Et c’est comme d’habitude Adrian Wojnarowski d’ESPN qui lâchera la bombe sur twitter, Giannis Antetokounmpo a décidé de…

Spoiler:

La saison régulière 2026-2027

Cette signature n’arrange pas vraiment les Wizards, et toutes les autres équipes de la conférence Est. Néanmoins, les médias spécialistes projettent Washington comme étant la meilleure équipe de la ligue. Les gros progrès de Tre Hunter sont vus comme déterminants dans la future réussite ou non de la franchise de la capitale, lui qui a solidifié sa défense de manière assez spectaculaire pour devenir l’un des tous meilleurs meneurs de la ligue. La perte de Saddiq Bey va être compensée par la promotion de CJ Blackwell qui a l’air prêt à enfiler un costume de titulaire. Attaquant super efficace à mi-distance, il a fait de bons progrès à 3 pts, pas de là à être un tireur de loin très efficace, mais suffisant pour ne pas être laissé complétement ouvert par les défenses adverses. Très bon défenseur pour son âge et doté d’une grosse marge de progression, son niveau futur laisse rêveur.  

La rééducation de Trae Young, qui avait souffert d’une rupture des ligaments croisé du genou en début de saison dernière, traine et il devrait encore manquer plusieurs mois de compétition, au grand désarroi des Hawks.

Washington a accompli une saison régulière de très grande qualité, aidé une fois n’est pas coutume par une très grosse production de son banc. Pour la première fois sous l’ère du nouveau management, les Wizards ont l’air d’avoir la profondeur d’effectif d’un champion. Si Karl-Anthony Towns et Tre Hunter (Hunter qui recevra d’ailleurs quelques voix pour le titre de MVP) ont été élus all star au cours de l’année, l’apport des remplaçants aura été considérable. Jalen Brunson est toujours l’un des meilleurs meneurs backup de la ligue, l’arrière Bruno Sosa aura connu une progression énorme tant au tir, qu’en défense et en playmaking, l’ailier Mateo Delgado a été plus propre dans sa sélection de tirs et ses pourcentages en hausse le montrent, enfin la recrue Kabengele a eu un impact immédiat derrière Towns. Washington finira la saison régulière avec 59 victoires et 21 défaites et décroche la première place de la conférence est. 2e meilleure attaque et défense n°1 de la NBA, les Wizards n’ont vraisemblablement jamais été aussi forts.

Du coté de la concurrence, on notera la saison décevante de Cleveland que l’on voyait rouler sur tout le monde. Une attaque fantastique, mais une défense très médiocre amèneront les Cavs à finir seulement 6e de la conférence. Une des grandes histoires de cette saison régulière aura été la 4e place décrochée par les Milwaukee Bucks, qui font donc mieux que la nouvelle équipe de Giannis. Milwaukee aura été porté à bout de bras par Sterling Weems qui tournera à 30 points de moyenne et qui décrochera même le titre de MVP ! De plus, les mauvaises nouvelles s’accumulent pour le greek freak qui va souffrir d’une dislocation de la rotule et qui va être out pour toute la postseason ! En signant Giannis, Cleveland avait perdu énormément de sa profondeur d’effectif, désormais sans leur star les choses semblent se corser pour les double champions en titre.

Les playoffs

Washington va affronter le 8e de l’est, les Charlotte Hornets à qui il manque leur meilleur joueur l’ailier Deni Avdija qui souffre d’une blessure à la jambe. 12e attaque et 10e défense de la NBA au terme de la saison régulière, il existe un énorme gap de talent entre les deux équipes, écart exacerbé avec l’absence d’Avdija. La série devrait être une formalité pour Washington.

Game 1
Une performance défensive de très grande qualité va permettre aux Wizards de gagner ce premier match à domicile, Washington aura forcé Charlotte à tirer à 37% de réussite. A noter les 29 points 7 rebonds de Towns, victoire 126-103.

Game 2
Cette fois c'est en attaque que Washington va se montrer. Une supériorité offensive trop grande, 28 points 7 rebonds de Towns, 22 points 6 rebonds 7 passes de Hunter, vont permettre aux Wizards de gagner ce deuxième match 127-119.

Game 3
Chaque rencontre voit Washington dominer de manière différente Charlotte. Le game 3 sera un festival de provocation de fautes des joueurs de la capitale, rien ne pouvait les empêcher d'aller sur la ligne des lancers. Anthony Edwards scorera 27 points et Jalen Brunson 19 en sortie de banc, victoire 122-100 de Washington.

Game 4
Les Wizards avaient démontré en conférence de presse une véritable envie de ne rien laisser à Charlotte, pas un match, ni même un quart temps. Les actes ont suivi les paroles, Washington va exploser les Hornets devant leur public et envoie leurs adversaires en vacances à Pointe-A-Pitre. Blowout total 144-105 avec 29 points 11 rebonds de Towns, 28 points d'Edwards et 21 de Hunter. Les Wizards étaient tout simplement trop forts et ont balayé Charlotte, ce qui leur permettra d'obtenir quelques jours de repos en plus non négligeables pour la suite des playoffs.

[Pedro]

Il y a des choses que je ne comprends pas dans la vie mais alors, le move de Cleveland, il est dans le top 3. T'es double champion en titre, tu détruis pas ton équipe pour prendre Giannis, quadruple MVP ou pas.

Est-ce que c'est enfin cette année que vous allez en finale de conférence ? D'après mes calculs, vous évitez les Hawks maintenant. Vous jouez les Bucks ou le 5e

[Chris Jericho]

J'aurais du préciser, Cleveland a perdu aucun de ses gros joueurs pour accueillir Giannis. Ils ont toujours Garland le multiple MVP des finales, Kevin Porter, Mo Bamba et Andre Drummond. Ils ont laissé partir des très bons roleplayers pour pouvoir signer Giannis et derrière ils ont signé des joueurs de complément au rabais (qui ont été bien moins bons que les anciens roleplayers pour le coup). Donc ils ont pas totalement détruit leur équipe pour Giannis mais la sauce a pas encore pris totalement.

Au 2e tour je vais affronter le Heat encore, je croise les mêmes équipes chaque année ptdr ça suffit bordel.

[Pedro]

Ouais mais pourquoi changer un équipe qui gagne ? Ils perdent en profondeur de banc. C'est pire que le coup de GS parce qu'eux, ils avaient perdu avant de prendre KD

[Dumble J]

Mdr Giannis aux Cavs il en avait ras le cul de Milwakee après 35 ans dans la même franchise il décide enfin de changer pour gagner, et se retrouve derrière son ancienne équipe. A sa place je claquerais tout pour me mettre au golf. Je crois en ta victoire cette année, je ne veux que des DESTRUCTION Sofiane

[Chris Jericho]

Deuxième tour face au Miami Heat

Les Wizards vont croiser de nouveau les floridiens en playoffs, cette fois-ci en demi-finale de conférence. Au premier tour, Miami a disposé des Cavaliers, champions en titre et privés de Giannis Antetokounmpo, 4-1. Le Heat n'a pas connu de grande révolution d'effectif, l'équipe est toujours portée par Bam Adebayo, l'un des meilleurs pivots de la ligue, Tyler Herro et Duncan Robinson, formidables tireurs extérieurs. Néanmoins à la free agency Miami aura greffé à ce groupe de joueurs une recrue de gros calibre en la personne de Jonathan Isaac. Ailier fort faisant partie de l'élite de la ligue en défense, Isaac forme avec Adebayo une raquette défensive absolument terrible pour les attaques adverses. Au terme de la saison régulière, Miami a fini à la 4e place de l'est avec 48 victoires et 34 défaites, 21e attaque mais surtout 4e défense de la NBA. Le défi pour les Wizards sera de surclasser cette défense de fer.

Game 1
Le premier match de la série, joué sur le parquet de Washington, aura été un match compétitif jusque dans ses derniers instants. Si les locaux ont fait la course derrière la majeure partie du temps, un très gros dernier quart-temps leur donnera l'avantage et leur fera repartir avec la victoire, derrière un Anthony Edwards en 31 points 6 rebonds 5 passes. Hunter ne sera pas en reste avec 20 points 6 rebonds 8 passes, victoire des Wizards 108-104.

Game 2
Devant son public, Washington peut prendre un avantage significatif avant que la suite de la série ne se déroule à Miami. Le Heat s'avère être un adversaire coriace et un véritable poil à gratter en défense. Le game 2 sera tout aussi serré que le game 1, tout s'est joué encore une fois dans le clutch et ce sont finalement les joueurs du Heat qui l'emporteront et voleront l'avantage du terrain, derrière un Adebayo à 26 points 12 rebonds. Si Towns s'en est sorti avec 26 points 8 rebonds, Hunter et Edwards ont été maladroits au tir et la série continue du côté de Miami à égalité, 120-118 pour le Heat.

Game 3
L'objectif pour les Wizards est de reprendre l'avantage du terrain en gagnant ce match. Une grosse contribution du banc et une belle adresse à 3 points suffiront aux joueurs de la capitale pour voler ce game 3 à l'extérieur, 120-105. A noter la performance XXL de Towns à 38 points 12 rebonds, mais également l'apport des remplaçants Kabengele à 14 points 10 rebonds, Brunson à 17 points 7 passes et Thybulle avec 3 interceptions et 2 contres.

Game 4
En gagnant ce match, Washington a l'occasion de se donner une balle de match au game 5 devant son public. Ce match sera le moins compétitif de la série puisque les Wizards vont infliger une raclée 132-99 à leurs adversaires. Washington aura été portée par son attaque avec Towns à 28 points 11 rebonds 7 passes, Edwards à 24 points 7 passes et Brunson à 16 points en sortie de banc. Washington mène la série 3-1 et est à une victoire des finales de conférence.

Game 5
Le coach du Heat Erik Spoelstra ne s'est pas avoué vaincu en conférence de presse, il sent son équipe capable de réagir et de gagner à nouveau à l'extérieur. Washington a l'occasion de finir la série et d'écarter un adversaire coriace devant son public. Mais à l'instar du game 1, les Wizards vont faire la course derrière tout le long du match. Les 20 points 14 rebonds d'Adebayo vont placer Miami sur orbite pendant la majeure partie de la rencontre, jusqu'au dernier quart temps où Washington va se réveiller. Un énorme dernier quart temps tant offensif que défensif va permettre de réduire l'écart mais ce ne sera pas assez pour passer devant au finish. Victoire 124-119 du Heat, malgré un Edwards à 31 points 5 passes.

Game 6
Si Washington a encore l'occasion de terminer la série, à 3-2 et sur le parquet de Miami il ne va pas falloir se faire peur et laisser les hôtes rêver d'un game 7. Le game 6 sera maitrisé par les Wizards de bout en bout qui auront délivré une performance pleine de maturité et d'expérience. En terrain hostile, Washington n'aura jamais laissé Miami entrapercevoir une finalité positive à ce match. Les 29 points de Hunter, 21 points 10 passes d'Edwards permettent aux Wizards de gagner le match 121-105 et la série 4-2.


Enfin en finales de conférence, Washington n'est qu'à une série des prestigieuses finales NBA. Les Wizards auront déroulé leur jeu sans jamais vraiment être inquiétés jusque là. Désormais il va falloir affronter un adversaire d'autant plus coriace, car il a fait la course en tête de la conférence est durant une grande partie de la saison régulière avant de se faire doubler sur la fin par Washington : les Chicago Bulls. Pour en arriver jusque ici, Chicago a battu les Hawks qui avaient enregistré le retour de Trae Young en cours de saison, 4-2 au premier tour ; avant de balayer les Knicks 4-0 en demi-finale de conférence.

Les Bulls se présentent face à Washington avec un effectif très fourni, surtout sur les postes d'arrière. Lamelo Ball, petit frère de Lonzo, au poste de meneur est un joueur ultra talentueux et très créatif offensivement, il est 5x all star. Desmond Cooper à l'arrière, 2x all star,  est une machine offensive intraitable, l'un des tous meilleurs attaquants de la ligue. Marvin Bagley au poste de pivot est un joueur avec des qualités athlétiques rarement vues en NBA. Enfin, l'arme secrète des Bulls qui fait sans doute de Chicago un prétendant très sérieux : Coby White, meneur en sortie de banc, a décidé de faire sa carrière aux Bulls et d'accepter un rôle de sixième homme alors qu'il a le talent d'un titulaire de très haut niveau voire d'un all star. Attaquant formidable, il est un gros problème à gérer pour les bancs adverses.

Avec 58 victoires et 24 défaites lors de la saison régulière, Chicago aura été la 4e meilleure attaque et la 2e meilleure défense de la ligue. Autant dire que ces finales de conférence devraient avoir un niveau d'excellence à la hauteur de l'évènement.

[Dumble J]

Ton banc te fait quand même vachement de bien sur tes derniers matchs. D'ailleurs comme je vois Adebayo, ça peut pas être une potentiel idée de tenter un trade Towns-Adebayo?

En tout cas les Bulls ont l'air sacrément relou mais un peu comme toute la conférence, assez incroyable de se dire que si tu va en finale ce sera peut être l'équipe la plus facile que t'auras à affronter des PO

[Chris Jericho]

L'idée d'avoir Adebayo fait saliver toutes les équipes NBA mais ils me demanderaient beaucoup pour lui et puis j'ai trouvé la formule qui marche bien pour l'instant donc je vais pas changer tant que ça continue.

Le banc est excellent oui, je pense carrément qu'on a le meilleur banc de toute la ligue, il aura fallu du temps pour le composer entre faire progresser nos rookies et signer les pièces complémentaires qu'il nous fallait mais on a trouvé un équilibre quasi parfait. Maintenant le problème ça va être de le conserver, ça va être assez compliqué mais c'est un problème pour plus tard.

[Pedro]

Enfin les finales de conférence après 22 ans d'attente. Maintenant, faut gagner cette finale avant l'heure et les finales contre l'équipe de l'ouest ne seront qu'une formalité

[Chris Jericho]

Finales de conférence face aux Chicago Bulls

Game 1
Le coup d’envoi de la série aura vu les Wizards attaquer de belle manière la rencontre tant offensivement que défensivement. Les joueurs de Washington ont dominé la majeure partie du match, jusqu’au dernier quart. En effet, la dernière période a été très laborieuse pour les joueurs de la capitale qui ont connu une panne d’attaque totale, laissant les Bulls remonter au score et croire en un hold up. Les 32 de points de Cooper ont permis à Chicago de rester plus au moins au contact, mais Washington fera ce qu’il faut pour maintenir l’écart et remporter le match 115-101. Towns pose une feuille de match avec 27 points 7 rebonds 4 passes, Edwards avec 24 points 5 passes.

Game 2
Washington doit protéger son terrain et réitérer la performance du game 1. Les Wizards seront encore meilleurs, avec une belle adresse au tir et une grosse domination au rebond, ils n’ont laissé cette fois aucun espoir aux Bulls. Hunter sera très complet avec 39 points 6 rebonds 5 passes et 2 interceptions, avec 10 tirs à 3 points inscrits il égale le record de sa franchise détenu par son coéquipier Towns. Edwards ne sera pas en reste avec 21 points 6 rebonds 7 passes. En face, Bagley aura sauvé l’honneur avec 31 points et 12 rebonds. Victoire 129-109.

Game 3
Le premier match de la série joué à Chicago aura un déroulement bien différent. Il a été serré de bout en bout, les équipes se rendant coup pour coup, la décision s’est faite dans le clutch time. Les spectateurs auront vu un véritable match d’attaque, les deux équipes étant très adroites au shoot et les top players étant à leur meilleur niveau. Les 41 points et 18 rebonds de Bagley, 30 points de Cooper ont porté les Bulls. De l’autre côté, Hunter à 32 points en étant ultra efficace au tir, Edwards avec 27 points 6 rebonds 4 passes, Towns avec 25 points 10 rebonds et Brunson avec 20 points en sortie de banc ont sans doute été trop pour Chicago qui doit se résoudre à laisser filer ce match à domicile, 124-121 pour Washington. Seule ombre au tableau pour la franchise de la capitale, la foulure à la cheville de Keon Wallace, ailier fort défenseur titulaire, qui devrait rater quelques matchs.

Game 4
Chicago est dos au mur et doit gagner ce match devant son public pour éviter l’humiliation du sweep. Le game 4 sera lui aussi un match d’attaque avec beaucoup de points inscrits. Les Bulls montrent un autre visage, sans doute touchés dans leur orgueil par le déroulé de la série jusque-là. Ils vont performer et même dominer Washington dans les compartiments du jeu les plus « cols bleus », notamment au rebond offensif. Les 30 points 7 rebonds de Cooper, 29 points de Lamelo Ball et 21 ponts de Coby White en sortie de banc vont suffire pour éviter le sweep et remporter le match 139-132. Les 24 points 11 rebonds 5 passes de Towns n’auront pas suffi, Edwards a été trop discret avec seulement 13 points.

Game 5
Retour à Washington où les locaux ont une nouvelle occasion de mettre un terme à la série, cette fois devant son public. Ce match 5 n’entretiendra aucun suspense, les Wizards explosant les Bulls 141-118. Du coté de Chicago, Desmond Cooper sera bien trop seul avec 30 points. Washington était tout simplement trop fort offensivement. Hunter finira la série avec 30 points 12 passes, Edwards avec 25 points 6 passes, Kabengele avec 17 points 8 rebonds en sortie de banc. 4-1 pour les Wizards.

Hunter aura été le détonateur offensif de son équipe durant cette série, en inscrivant 28 points par match. Coté Chicago, le facteur X Coby White a été maintenu à 14 points par match à 39% de réussite. La série s’est sans doute joué là, avec un White aussi maladroit les Bulls n’avaient aucune chance d’inquiéter Washington, Chicago n’ayant pas énormément de profondeur d’effectif.

Enfin, les Wizards accèdent aux prestigieuses finales NBA et ne sont plus qu’à 4 victoires du titre. Un très sérieux adversaire se dresse sur le chemin de Washington : les New Orleans Pelicans. Avec un bilan de 58 victoires 23 défaites en saison régulière, les Pels avaient décroché la première place de la conférence ouest, en étant la meilleure attaque et la 6e meilleure défense de la ligue. New Orleans est arrivé en finales NBA en ne perdant que 3 matchs en playoffs jusque-là, avec en point d’orgue le sweep infligé au Jazz de Donovan Mitchell en finales de conférence. NOLA est de loin la meilleure équipe de la postseason avec Washington.

Les Pelicans ont un effectif hyper talentueux et très fourni. Au poste de meneur, Lonzo Ball, qui voudra sans doute venger son frère Lamelo éliminé par les Wizards, est un meneur ultra créatif, meilleur passeur de la NBA et défenseur très talentueux. Darius Stith à l’arrière est un des tous meilleurs 3&D de la ligue, avec Ball il forme un backcourt défensif très dur à manœuvrer. Au poste 3, Brandon Ingram est une machine offensive reconnue et très difficile à défendre, preuve étant qu’il a été élu 4x all star. Au poste 4, Zion Williamson est sans aucun doute l’un des 3 meilleurs joueurs de la NBA et certains n’attendent que sa première bague pour le placer 1er devant Giannis Antetokounmpo et Luka Doncic. 6x all star, 6x all-NBA, monstre athlétique absolu, finisseur au panier ultra dominant, rebondeur insaisissable et défenseur talentueux, il n’y a rien qu’il ne sache faire et ne serait-ce que le freiner relève de l’impossible. Il est sans conteste le meilleur joueur de la série. Au pivot, Jaxson Hayes est un défenseur sensationnel qui forme avec Zion une raquette elle aussi compliquée à prendre en défaut.

Les Wizards sont enfin venus à bout de l'est, mais les Pelicans sont sans doute la meilleure équipe qu'ils aient à affronter. There is always a bigger fish.

[Pedro]

Le 5 de base de NOLA est MONSTRUEUX mais est-ce que le banc suit le mouvement ?

[Chris Jericho]

Le banc est bon, le nôtre est sans doute un poil meilleur sur le papier mais ils ont de la profondeur d'effectif quand même.

[Dumble J]

Mdr les Pels ils ont un meilleur effectif que les Warriors d'il y a un an, ils devraient gagner tous les ans.

[Pedro]

C'est pour ça que je ne comprends pas qu'en 8 ans avec le même effectif, ils ne jouent les finales que maintenant

[Chris Jericho]

Les Grizzlies de Morant étaient incroyables, il y avait aussi le Jazz de Mitchell, Kyrie et Paul George, j'en parlais pas trop parce que c'était pas notre conférence mais y'avait du beau monde de l'autre coté aussi.

[Chris Jericho]

Les finales NBA face aux New Orleans Pelicans

La planète basket est en effervescence dans l’attente de cette série opposant les deux meilleures équipes de la saison. Des centaines d’habitants de la capitale sont dans les rues, bars, cafés, habillés de maillots floqués Edwards, Hunter, Towns ou Wall. Cela fait 48 ans que les résidents de DC n’avaient pas vu leur équipe atteindre les finales NBA et 49 ans qu’ils n’avaient pas vu leurs joueurs soulever le titre, alors l’émotion est grande chez les fans, les jeunes comme les plus anciens. Les médias, réseaux sociaux, youtubeurs bombardent leur plateforme de débats, analyses et autres pronostics sur la série. Les avis plus ou moins nuancés pullulent partout.

Max Kellerman : « New Orleans a un avantage simple et indéniable dans cette série : elle a le meilleur joueur de basket de la planète en Zion Williamson. C’est aussi simple que ça. Les équipes qui sont allées au bout y sont arrivées grâce au talent de leur meilleur joueur, et qui est meilleur en NBA que Zion ? Personne. »

Kevin O’Connor : « Les Wizards ont été intraitables en défense cette saison, je ne dis pas qu’ils vont réussir à arrêter Zion Williamson, mais s’ils peuvent ralentir tous les joueurs autour – et je pense qu’ils en sont capables – ils gagneront cette série. »

Skip Bayless : « Les Pels ont Zion, d’accord et ensuite ? L’effectif des Wizards est trop profond comparé à celui de NOLA. Washington a 3 joueurs capables de tourner à plus de 20 points de moyenne, c’est tout simplement indéfendable, les Wizards gagnent la série en 5 matchs. »

Charles Barkley : « Qui va arrêter Zion à Washington ? Non non, dites-moi, qui ? Si ce gamin veut montrer au monde entier qu’il est vraiment le meilleur joueur au monde, alors c’est maintenant qu’il doit le faire. Je pense qu’il en est capable, Washington peut mettre n’importe qui sur lui que ça ne changerait rien ».

Game 1
Washington aura l’avantage du terrain pour ces finales, ayant eu un meilleur bilan que New Orleans au terme de la saison régulière. La série commence donc du coté de la capitale, Tre Hunter a bien fait passer le message sur les réseaux sociaux que les fans seront déterminants et qu’il s’attend à une ambiance dingue. Le premier match de ces finales NBA ne ravira pas grand monde du coté des diffuseurs et de la ligue tant celui-ci n’aura pas été compétitif. Une raclée a été infligée sur le parquet de Washington, raclée qui s’est dessinée en plus dès le tout début du match, coupant court à tout suspense. Une domination au rebond offensif et un nombre ahurissant de points inscrits dans la raquette adverse aura permis aux Pelicans de voler l’avantage du terrain et d’envoyer un gros message au monde entier. Zion avec 38 points 17 rebonds dont 7 rebonds offensifs aura été intraitable et ne semble pas vouloir perdre de temps. Accompagné comme il le faut par le match à 29 points 5 rebonds 6 passes de Lonzo Ball et la performance à 28 points 9 rebonds 5 passes d’Ingram. Hunter aura été bien seul à surnager coté Wizards avec 29 points, Towns finit à 20 points 7 rebonds. Edwards aura été maladroit, inscrivant 17 points à 8/18 au tir. Victoire de New Orleans 152-122.

Game 2
Le coach Brad Stevens a été clair devant la presse, il faut à tout prix montrer que le premier match était un accident. Ce match sera plus serré que le premier, les Wizards auraient difficilement pu faire pire, ils ont montré un meilleur visage devant leur public. Malgré une détermination évidente des joueurs de la capitale, les Pelicans font encore la course devant. Ils arrivent à contrôler le match, imposer un rythme de jeu plus lent qui ne sied pas à leurs adversaires et surtout, continuent de dominer le rebond offensif, s’octroyant par la même de nombreux points en seconde intention. De plus, l’insaisissable Zion arrivera à provoquer beaucoup de fautes à l’intérieur, trop pour Towns qui sera fouled out au bout de 23 minutes de jeu et qui n’aura pu inscrire que 10 points. Ingram à 29 points 6 rebonds et Williamson à 27 points 9 rebonds vont faire ce qu’il faut pour gagner ce deuxième match. Du coté des Wizards, Edwards sera à 28 points 6 rebonds 9 passes et Hunter à 22 points 5 passes 5 rebonds. Kabengele qui aura fini le match à la place de Towns inscrira 21 points et prendra 6 rebonds. Insuffisant pour Washington qui s’incline 125-116.

Game 3
La série se déplace à New Orleans et à 0-2, Washington serait bien inspiré de copier ce qu’a fait les Pelicans en remportant leurs deux matchs à l’extérieur. Beaucoup d’observateurs ne voient pas un tel miracle se produire et certains pensent même que NOLA mettra un point d’honneur à finir la série devant son public, ce qui implique un sweep. Cette rencontre ne sera pas très compétitive non plus, la réaction d’orgueil que l’on aurait pu attendre des Wizards a été tuée dans l’œuf par des Pels intraitables qui ont décidé de ne rien laisser. Les 35 points d’Ingram mèneront son équipe vers une troisième victoire consécutive. En face, Edwards à 33 points et Towns à 20 points 7 rebonds 6 passes n’ont rien pu faire. Le banc des Wizards s’est fait détruire de bout en bout par le banc de NOLA, Brunson sort une deuxième piètre performance consécutive. Victoire des Pels 136-102.

Game 4
Jamais une équipe n’est revenue d’un déficit de 0-3 en finales NBA et au vu de la physionomie de la série, même le plus fou des parieurs ne mettrait un kopeck sur ce scénario. Une réaction d’orgueil est tout de même plausible, même si elle ne ferait que rallonger la série un peu plus. Edwards sera dans cet état d’esprit en inscrivant 33 points 4 rebonds 4 passes mais son équipe commence mal la rencontre et courra toujours après le score. De l’autre coté, le duo infernal Zion-Ingram continuera de faire des siennes avec 31 points 12 rebonds pour le premier et 25 points 8 rebonds pour le second. La faillite des autres membres du big three de Washington sera fatale, Towns avec seulement 15 points à 1/9 à 3 points et Hunter à 14 points à 2/8 à 3 points sont passés à coté de leur rencontre. Les Pelicans remportent le match 128-109 et sont champions NBA pour la première fois de leur histoire, Zion Williamson est élu MVP des finales.

Il n’y a jamais eu match entre les Wiz et les Pels. Ces derniers ont été beaucoup plus agressifs que leurs adversaires, attaquant le panier sans cesse et provoquant de nombreux lancers. Surtout, ils auront totalement dominé la lutte au rebond et attrapé un nombre incalculable de rebonds offensifs, leur donnant de nombreuses nouvelles possessions offensives. Washington aura été déficient en n’arrivant pas à empêcher cette maitrise, plombant de ce fait de manière dramatique sa défense. De plus son banc a été bien moins productif qu’à l’accoutumée, Jalen Brunson notamment qui avait été si précieux durant cette campagne de playoffs aura été défaillant sur cette série. Les Wizards sont tombés sur une montagne infranchissable et n’ont pas su ralentir Brandon Ingram et Zion Williamson qui ont été inarrêtables.

[Pedro]

Nooioon quelle déception. Towns qui choke. Brunson qui choke. Zion qui roule sur le monde du main balle. Quelle déception

[Chris Jericho]

Ils étaient trop forts, je sais même pas si on avait une chance si tout le monde avait joué à son meilleur niveau. Y'a moyen que ce soit le début d'une dynastie parce qu'ils sont tous dans la force de l'age.

[Pedro]

C'est quand même fou que leur board ait patienté 8 ans sans rien changer dans l'effectif pour arriver au titre. Knicks could not

[Chris Jericho]

Patience est mère de sureté comme on dit dans le Languedoc.

De notre côté cette défaite remet en question pas mal de choses. Le truc dont j'avais peur c'est de plafonner parce qu'on a pas de top 5 ou top 10 joueur dans l'effectif. Là non seulement j'ai l'impression qu'on a poussé l'effectif au max de ce qu'on a pu, mais en plus je suis pas sûr d'arriver à conserver tout le monde parce que 3 joueurs arrivent en fin de contrat et il y a peu de chances que je puisse tous les prolonger. Pas simple la vie de GM.

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